top of page

PRESSE

What about us

Rise Up, Femmes de la Beat Generation

17191607_342575889470150_812435316631558963_o.jpg

 MAELSTROM editions / Belgique / Fiestival 2015, FIESTIVAL MAELSTROM  Mai 15

"Nous vous conseillons plus que vivement de vous laisser arracher à votre quotidien par ces 2 super femmes qui interprètent avec talent les voix/voies d'auteurs femmes de la Beat Generation !!!!"

​

Rise Up ! de Mirabelle Wassef, à La Générale / Festival l’Eveil de Printemps ƒƒƒ 

Par Denis Sanglard pour Un fauteuil pour l'orchestre

De la Beat Génération on cite généralement et comme un mantra Kerouac, William S. Burroughs, Allen Ginsberg. Mais qui peut citer un seul nom de femme ? En France les noms et les oeuvres de Diane DiPrima, Anne Waldman, Hettie Jones, Elise Cowen ou Frann Landsman sont quasi inconnues, non traduites. Elles furent et sont encore des poétesses et militantes actives de la contre-culture américaine. Alors dans cette cave de la Générale, comme un goût de clandestinité et de confidentialité, Mirabelle Wassef au chant et Séverine Morfin à l’alto, redonnent la parole à ces femmes puissantes. Une création un peu foutraque, border-line, mais qu’importe, conçue comme dans l’urgence d’une performance improvisée où poèmes et textes slamés, chantés, récités, chahutent pour le meilleur. L’important est bien dans cette découverte d’une écriture singulière où « la littérature beat chante contre le cynisme, l’apathie, l’injustice, la tromperie, les compromis, le racisme, la guerre, les diables et les cons de toutes sortes » ( Anne Waldman). C’est une création sans chichi, sans manière, brute, sincère, nécéssaire. A celles qui, ici, n’ont pas de voix, Mirabelle Wassef offre la sienne dans un happening joyeux et généreux. On mesure alors l’importance de ses femmes, la puissance de leur écriture, la résolution et la fermeté de leur engagement. On ne peut que remercier Mirabelle Wassef, frondeuse et engagée à son tour, d’avoir plongé dans ces oeuvres brûlantes, de les avoir sorti d’un injuste purgatoire, de les avoir traduite. De les chanter avec autant de conviction insolente et de talent. Séverine Morfin fait de son alto un alter-ego proteïforme, rehaussant ces voix d’une atmosphère entre chien et loup, parfois étrange, parfois douloureuse, parfois éclatante. Au diapason d’une écriture qui se fait révolte, tourment, cri, espoir, joie. Alors au sortir de là, de cette cave  devenue le sombre et lumineux écrin de femmes en révoltes, on se répète à notre tour comme Diane DiPrima, « Rise up my brother, ne courbez pas la tête plus longtemps ».

​

L'insatiable / Cassandre/ Hors Champs par Nicolas Roméas / ATELIER DU PLATEAU NOV15

« RISE UP ! » (The beat goes on and goes girly) ou « Les allumeuses percent la nuit… »

 (...) "Mirabelle et Séverine jaillissent de cet écrin, le percent, elles ne se contentent pas d’explorer, de revisiter ce passé, mais comme l’art doit le faire, le ramènent à la vie pour de vrai, sans chichi, dans la fougue d’un présent retrouvé qui nous traverse comme une flèche et touche notre présent.

Elles ont creusé, cherché, fouillé, trié, choisi, fait traduire des textes à peu près inconnus de tous et encore jamais lus en langue française.

Elles relient dans l’instant deux instants de la vie humaine, franchissent les décennies comme l’éclair, soudent entre elles deux époques, élèvent la température au point de fusion, comme fait l’arc électrique. Elles le font avec une profonde simplicité, avec humour, sincérité, avec plaisir, non, avec joie, avec peu d’artifices et le secret d’une sorellité incandescente qui rallume d’un coup le flambeau qu’on crut éteint d’un élan vital ressurgi. ( …)

(…) Cette rencontre, comme celle de l’étincelle et de la poudre ou de l’étoupe, fait naître un feu dont nous avons intensément besoin en temps d’obscurité mortelle. ( …)

 

(…)Et si le jeu de mot n’était pas si risqué je les appellerais « allumeuses ». Celles d’avant et celles d’aujourd’hui. Ou alors, renonçant au douteux jeu de mot, le contournant : des « éclaireuses ».

​

Aurore EVAIN  / Nov15

RISE UP ! A la Java le 27 janvier, Mirabelle Wassef redonne vie aux voix des autrices de la Beat Generation et nous emporte dans une performance poétique, musicale, galvanisante, drôle et émouvante, un chant de liberté et de révolte "contre le cynisme, l'apathie, l'injustice la tromperie les compromis, le racisme la guerre les diables et les cons de toutes sorte"... un spectacle où l'on s'entrevit.... "HELP TO FREE US : FREE YOURSELF". Save the date !

​

​

THEATRE DE LA PORTE ST MICHEL-Avignon Festival

​

"On vous annonçait de l’éclectisme… Une performance engagée, difficile et courageuse, très bien menée par Mirabelle (comédienne) et Séverine (altiste). Une mise en scène inventive, efficace et percutante, une interprétation sans concession."

MEDIANE ART ET COMMUNICATION Christophe Averlan Juillet 15

​

“Sans savoir comment sera structurée cette création et cette mise en scène, on peut dès à présent remercier Mirabelle Wassef et Séverine Morfin de nous faire découvrir ces femmes par la voix de la Poésie que la musique accompagne.”

Patrice DANSIN – SORTIR LEZINE

 

Un spectacle exceptionnel.
On croirait voir une nouvelle Lydia Lunch et cela m’a rappelé cet album que Lydia a fait avec Philippe Petit intitule Taste our Voodoo. Mirabelle est si intense, expressive, elle vous attrape avec ses mots crachés depuis la profondeur de son âme. Séverine a le talent d’utiliser son violon alto comme Sonic Youth leurs guitares.
Si un jour leur spectacle vient dans votre région allez voir.” !!

Luigi de KIMSONICLEE

​

"Des textes magnifiquement présentés avec un fond musical qui nous met dans l'ambiance un moment de partage et d'émotion très intense un spectacle du Festival que je vous conseille pour passer un moment magnifique, merci ."

Véronique MORIN PROMOTION AVIGNON OFF

​

PRESSE ROSI

Rosilyn, L'Avocate du Carnaval

TELEVISION “PERLA VISION”

interview pour Tardes de Jagua le 4 Novembre

 

REPORTAGE “PERLA VISION”

Interview H.Toledo du 5 Novembre

 

TELEVISION “TV SUR “

interview Teatro B.Brecht du 1 novembre

 

RADIO CIUDAD DEL MAR

interview du 5 novembre

TELEVISION CANAL HABANA

Interview Teatro B.Brecht le  2 Novembre : Noticiero

 

Journal PERRO HUEVERO

Journal du festival, interview P.Roque du 1 Novembre

 

Blog LOS PASOS ENCONTRADOS

interview du 5 novembre pour le blog de L.Marene

ROSILYN: YO CANTO A LA VIDA, YO CANTO AL AMOR

 

Un rêve, une guitare, un grand amour, un voyage semble être la formule suivie par la compagnie théâtrale et musicale Ruby-Théâtre, de France, qui sont arrivés au Festival de La Havane avec la première de leur plus récente production. Rosilyn, la hija del Carnaval de Mirabelle Wassef à épuisé depuis très tôt les invitations et les entrées au Café Théâtre Bertold Brecht.

Rosilyn est une figure modelée par la marginalité, la folie et le délire. Faite à l’image et à la ressemblance de la femme fatale et diva du cabaret qui, entre l’alcool, la danse et la musique raconte son histoire au public avec la même sincérité que le confesseur au prêtre ou que la peine à l’homme de cantine. Pour le spectacle, ils ont utilisé diverses sources comme les chroniques de Kiki de Montparnasse, des textes de Cabrera Infante, Antonin Artaud, Louis Ferdinand Céline ou les chansons de Edith Piaf et La Lupe.

Selon Mirabelle Wassef, actrice et directrice artistique, la mise en scène s’est faite suivant un long processus de création qui à impliqué, non seulement la relecture des sources textuelles mais aussi l’observation de personnages de divers endroits de France pour concevoir les différends caractères dans lesquels se dédouble la protagoniste.

En même temps, elle continue la ligne suivie par le groupe ou la musique détermine le mouvement et les caractéristiques du personnage, le rythme ou l’atmosphère, et intervient dans la conception de la structure dramatique.

Mirabelle Wassef observe que Rosilyn…parle surtout de l’amour, «  de son amour pour la musique, les hommes, le groupe, son travail et la vie ». De cette manière, Ruby-Théâtre nous accueille chaleureusement avec un spectacle ou mieux, un show, qui se présente comme léger et facile. Où la décontraction est la stratégie par laquelle se réalisent de profondes réflexions sur la vie, l’art et l’éthique sans esprit de slogan pamphlétaire ou paroles creuses.

Rosilyn, la Hija Del Carnaval est par dessus tout un acte de loyauté et d’amour envers les choses que l’on estime nécessaires à la vie. Certains diront l’argent, d’autres la gloire mais celui qui se dépouille de ses feuilles mortes, de ses peurs, de ses angoisses découvre la nudité d’un acteur devant son public.

Le Carnaval de Rosilyn à Cienfuegos

 

Le Théâtre Terry lieu de représentation du XIV Festival Internacional de Teatro de La Habana à reçu sur sa scène le spectacle français “Rosilyne, La hija del Carnaval”.

Le seul en scène écrit et joué par Mirabelle Wasssef directrice artistique de la compagnie Ruby-Théâtre est une tragi comédie musicale inspirée de l’esprit délirant du cabaret.

La mise en scène – sous-titrée - construite sur un déploiement du travail de l’acteur, permet de profiter de la maîtrise de l’actrice dans l’art de l’interprétation qui irradie de vitalité et gagne l’attention et l’empathie du public du début à la fin.

Elle jette son dévolu sur des références musicales connues, interprétant en direct avec ses musiciens des chansons de la Lupe et de Edith Piaf. L’intention est de les faire entendre sans prétentions. Elle articule ainsi un discours organique qui parle de la vie mouvementée de ceux qui marquèrent l’histoire et l’esprit du cabaret.

La musique jouée en direct, permet de créer des espaces, dessine l‘atmosphère de la mise en scène comme les émotions et les sensations pour créer un rapprochement riche et intéressant entre les artistes et le public.

La fonctionnalité de la scénographie attire l’attention, elle permet à l’actrice de passer avec facilité d’un personnage à un autre et les objets parfois deviennent des sujets de l’action.

Ruby-Théâtre fondé en 2007 pour créer des spectacles qui à travers la mélodie, le corps et la parole révèlent les paradoxes et la diversité du monde contemporain insistant sur la nécessité de vivre la joie malgré tout dans une résistance affichée au désespoir.

Ce fut une bonne occasion pour les Cienfuegueros de rencontrer d’autres langages et manières de faire. De son côté la compagnie Française durant un intéressant échange avec les spectateurs à remercié la générosité et l’attention du public cubain.

Rita et Luna, In Extremis

RUE DU THEATRE- Le Magazine du Théâtre Européen

Rita et Luna In Extremis (Paris) 29/11/07

 

CERTAINES L'AIMENT SHOW / Deux femmes et trois musiciens sur un plateau, ça donne « Rita et Luna », spectacle théâtral-musical, poétique et inclassable. Inspirées par l’univers des clowns et du théâtre chinois, les deux interprètes, qui sont aussi auteurs et metteurs en scène se jouent des conventions et de la représentation de la femme.

 

Deux femmes se cherchent. L’une, Rita, obsédée par ses pulsions de mort, l’autre, Luna, vouée à une errance perpétuelle. La première en rouge sang, la seconde, plus sensuelle, sombre et minaudante. Le duo fonctionne, avec une réelle complicité entre les deux actrices qui se rencontrent dans le corps à corps et la confrontation.

 

« Etre une femme » est le nœud gordien de la pièce, mais quelle femme ? Rita, Luna, Paula, Laetitia, Vicky… Les costumes, nombreux, comme les perruques, sont des peaux interchangeables. Et chaque mue en révèle une nouvelle, qu’elle soit femme fatale ou putain, chanteuse ou tigresse.

 

Un spectacle polymorphe, (...)

 

La scène est au départ un espace improbable et indéfini, entre la foule et l’océan, qui se transforme pour devenir un cabaret, côté coulisses et côté scène. (…) La violence et la poésie sont omniprésentes et se mêlent, sur une musique qui constitue l’ossature de la pièce. (...)

 

(...) Portées par leur univers où même la mort est loufoque et dynamique, les deux jeunes femmes se donnent avec une belle énergie sur des parcelles d’histoire qui amusent ou désarçonnent. Se raccrochant l’une à l’autre, elles avancent, petit à petit et avec nous sur le chemin de l’amitié qui les révèle l’une à l’autre.

On n’existe jamais seul.

  ...Le spectacle est une petite merveille de poésie !

Lisa Aguirre

​

20 MINUTES - N° 1316 MERCREDI 19 DÉCEMBRE 2007 / Rita et Luna In Extremis théâtre musical

Elles sont femmes,elles sont clowns. Elles sont charmantes et fatales, légères et hantées.

Rita et Luna, alias Mélina Bomal et Mirabelle Wassef prennent la parole sans fard et sans peur, s’incarnant dans une course effrénée et libératrice.

                                                                                                                                    

MOTS DE SPECTATEURS  ...pour Rita et Luna In Extremis. Comme dans un rêve

Pièce dynamique, jeune et un peu folle... l'ambiance est sympathique, j'ai passé une soirée très agréable.

écrit le 21/12/2007 par : Anelore ( BilletReduc.com )

 

                                            ...Un fabuleux voyage ..... au pays du spectacle ! Notes de texte, notes de musique, on embarque sans problème. Rien de tel pour souffler un peu - en milieu de semaine - rire un peu de ces comédiens/musiciens enchanteurs. Je recommande cette pièce à qui aime tout simplement ...la création (sous toutes ses formes). L'originalité est avec eux,

ils méritent notre soutien.

écrit le 29/11/2007 par : CB.Céline (BilletReduc.com )

 

                                           ...Etonnant et très agréable ! -Deux comédiennes,

trois musiciens (excellents), et une pièce... surprenante.  On est parfois déroutés, mais jamais on ne s'ennuie. Le texte est très bien porté par les deux comédiennes, et la musique est vraiment sympa. Nous avons passé un très bon moment !

écrit le 20/11/2007 par : moket201 (BilletReduc.com)

 

 

                                          

Crédit Photo cortesy John Sellekaers, Maxime Michel, Teartro Terry,E.Jolivet

bottom of page